Organisateur : contact@institut-delatte.org
Formateur : Thibault FORTUNER
Horaires le 20,21 & 22 octobre 2023 : 9h – 12h / 14h – 17h – COMPLET EN PRESENTIEL !
Egalement accessible en visioconférence pour les stagiaires de la Nouvelle-Calédonie, La Réunion, Tahiti et Canada
Dans la nature tout ce qui est inutile est voué à disparaître… De ce constat est née l’interrogation : Et si la maladie avait une utilité ? Et si elle avait un sens ?
Le but archaïque de tous les êtres vivants est de survivre. Faisant partie du monde du vivant, nous n’échappons naturellement pas à la règle. D’ailleurs, dans le corps, tous les organes, tissus et cellules ont des fonctions propres qui permettent à l’individu de répondre à un besoin précis pour survivre. Si la survie est l’objectif, la clé pour y parvenir est l’adaptation. Dans la nature, tous les êtres vivants vont donc s’adapter à leur environnement et à ce qu’ils vivent pour être en vie l’instant d’après. Dans cette optique, à chaque instant, notre corps modifie naturellement le fonctionnement de nos organes, pour favoriser notre adaptation aux stress environnementaux et aux évènements que nous traversons, afin de nous aider à répondre à nos besoins et ainsi survivre. Par exemple, dans le noir, les pupilles de notre œil se dilatent pour nous permettre de mieux voir dans le noir ce qui augmente les chances de survie ; lorsqu’une personne va en altitude où l’oxygène se raréfie, son corps se modifie en augmentant notamment le nombre de ses globules rouges afin de lui permettre de capter et transporter la moindre molécule d’oxygène et avoir plus de chance de survivre…
Le corps modifie donc naturellement et physiologiquement son fonctionnement pour s’adapter aux stress environnementaux mais aussi émotionnels. Or, la maladie n’est rien d’autre qu’une modification accentuée d’une fonction, d’un organe, c’est pourquoi il est possible de s’interroger : Et si la maladie était une sur-adaptation, une réponse du corps à un stress précis de notre vie, dans l’optique de répondre inconsciemment à un besoin et d’assurer, in fine, la survie de l’individu.
Dans cette vision, au niveau archaïque et animal, c’est parce que nous ne trouvons pas de solution à un stress, à un conflit, dans notre vie, que nous la mettons en place dans notre corps sous la forme d’une maladie.
L’objectif, au niveau animal, est alors de rechercher les conflits, les ressentis, les histoires précises à l’origine d’un blocage donné, dans la mémoire propre de la personne, dans sa vie, mais aussi dans sa mémoire généalogique, afin de tenter de les solutionner et de pouvoir ainsi avancer sur sa guérison.
Le plan animal n’est pas le seul niveau d’interprétation de la maladie. En effet, pour moi, celle-ci s’exprime sur trois plans interreliés : animal, humain et spirituel.
Si le plan animal nous guide vers nos freins, nos conflits et nos blessures non résolus du passé, les plans humains et spirituels de la maladie nous guideront vers nos moteurs, nos forces et aspirations profondes ainsi que vers des enseignements qui pourront être utile pour soigner cette maladie mais aussi pour avancer sur le chemin de nos rêves.
Dans cette vision globale de la maladie, celle-ci est alors comme un SMS de l’univers, un texto de la partie de nous-même qui est connectée à notre chemin de vie, visant à nous rappeler notre voie et à nous aider à nous reconnecter à notre sens et notre fonction.
Que ce soit au niveau animal, humain ou spirituel, l’analyse des pathologies se fera grâce à différentes grilles de lecture :
- les données scientifiques (la physiopathologie, l’éthologie, des équations de la physique…)
- le symbole (la langue des oiseaux, la mythologie, les textes sacrés… )
L’objectif de ce module est d’approfondir et de comprendre le fonctionnement précis de cette vision globale du corps humain sur les trois plans et d’apprendre à découvrir les conflits à l’origine d’une pathologie mais également les enseignements, les messages, les forces, les rêves et le sens qui lui sont attachés pour nous aider à nous en libérer.
Dans ce module, les objectifs sont :
- comprendre les mécanismes des différents niveaux de lecture du corps humain et de la maladie ;
- commencer à apprendre à retrouver par soi-même les conflits, les ressentis précis, les mémoires personnelles et généalogiques à l’origine d’un blocage de vie ou d’une maladie donnée ;
- apprendre à lire les messages, enseignements, regrets, aspirations que véhiculent le corps et ses pathologies
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